DANS L’ŒIL DE...
NEILA DJOUDIResponsable développement procédés hydrométallurgie
Ses connaissances en hydrométallurgie, Neila les met au service de la récupération des métaux stratégiques des batteries électriques pour mieux les recycler. Un procédé vertueux au service de l’économie circulaire dans un marché prometteur : celui des véhicules électriques.
En quoi consiste ton job ?
Il consiste à piloter et à suivre les actions R&D en interne et en externe du procédé hydrométallurgique du programme Batteries d’Orano. Je participe ainsi à la définition et à la consolidation des résultats de l’hydrométallurgie, en vue de son industrialisation, prévue pour la future usine Orano à Dunkerque.
Depuis combien de temps as-tu intégré le projet Batteries ?
J’ai intégré Orano et plus précisément le programme Batteries il y a peu, en novembre 2023.
Une fierté de travailler sur ce projet ?
Absolument ! Je crois en la réussite de ce projet. Le recyclage des batteries de véhicules électriques permettra de concrétiser les ambitions de l’UE en termes d’économie circulaire et de neutralité carbone.
Quel est ton parcours ?
Je suis ingénieure en génie des procédés. J’ai travaillé durant ma thèse de doctorat sur la récupération du cobalt à partir de lixiviats de batteries usagées. Ce qui m’a ensuite amenée à travailler dans l’industrie (en Belgique) sur le développement de procédés hydrométallurgiques de recyclage de batteries.
Qu’est-ce que tu aimes dans ton travail ?
Mes journées ne se ressemblent pas. Il y a beaucoup de défis à relever, ce que je trouve particulièrement motivant.
Pourquoi recommanderais-tu Orano à un proche ?
Pour les valeurs de l’entreprise, l’innovation, le savoir-faire et le bien-être au travail.
Un sport ou une activité favorite ?
J’en ai deux ! Le tennis pour me vider la tête et la peinture pour me détendre.
Le meilleur moment de ta journée ?
Le matin ! J’aime prendre le temps de faire de l’exercice et de lire avant de me plonger dans les batteries
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Une phrase qui t’accompagne ?
« Il n’y a pas de réussite facile ni d’échecs définitifs. »